Site web :www.bestiale.be

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Quelle est la raison d’être de ton entreprise ?

La Bestiale, c'est d'abord une histoire d'audace. Une histoire de statu quo que l'on défie. Celle de Simon Charlier, géographe-urbaniste de formation, qui a un jour écouté cet instinct presque animal qui grondait de plus en plus fort. Réveille la bête qui est en toi. Sors du cadre. Ose. Explore. Crée. Partage.

C'est alors devenu une histoire d'entrepreneuriat. Alors que nous brassions encore en amateur pour mieux comprendre le produit, nous avons pu compter sur l'aide d'une bourse de préactivité octroyée par la Région wallonne et sur les enseignements précieux de l'ISla à Huy pour lancer nos premiers brassins en 2015, déterminés à créer un univers dans lequel nous pourrions nous investir dans notre passion. Démarre alors une véritable aventure entrepreneuriale parsemée d'obstacles, mais couronnée de succès.

Enfin, la Bestiale est surtout une histoire d'amitié. Avec l'aide d'amis devenus partenaires professionnels et de partenaires professionnels devenus amis, après un crowdfunding record et des dégustations archicomplètes pour tester ses nouveaux produits, c'est une véritable communauté grandissante de Sauvageons qui s'est construite autour de la Bestiale, partageant les valeurs qui la caractérisent : la curiosité, le respect et la convivialité.

 

Quelles ont été les principales évolutions depuis la création de ton entreprise ? Où en es-tu aujourd’hui ?

Après une phase de test en couveuse, il a fallu stabiliser le business, l’inscrire dans la durée. Aujourd’hui, l’entreprise vient d’acquérir un nouveau local de 850m2 destiné a la production et a la croissance de l’activité.

 

Quelle est ta plus belle victoire entrepreneuriale à ce jour ?

La reconnaissance de tout une communauté de client

 

Quel a été ton plus grand défi ?

Me faire une place dans un marché ultra concurrentiel

 

Quels sont tes prochains challenges ?

Être présent et reconnu dans toute la Wallonie

 

Que t’as apporté ton parcours avec Job'In ?

La sérénité de pouvoir tester mon projet en toute sécurité.

 

Quel(s) conseil(s) donnerais-tu aux candidats entrepreneurs ?

Fonce ! C’est en essayant qu’on voit si on est fait pour l’entreprenariat.

 

Simon Charlier